Portrait du membership
La croissance s’est poursuivie
À la lueur des informations colligées en 2015, le nombre de professionnelles et professionnels du SPPMM, répartis dans les unités d’accréditation de la Ville de Montréal et des municipalités de banlieue de Côte-Saint-Luc, Mont-Royal, Pointe-Claire et Westmount, atteignait 1929 personnes. Ces chiffres témoignent d’une croissance de 12,3 % des effectifs, en comparaison du précédent exercice réalisé en 2010.
Répartition selon le sexe
Il se révèle intéressant de souligner que la proportion de femmes professionnelles du SPPMM a évolué de 38 % en 1998 à 56 % en 2015. Le passage à une majorité de femmes est survenu à la suite des fusions municipales de 2002. En effet, à partir de 2004, les données recueillies montrent que les professionnelles comptent pour plus de 52% des effectifs.
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Il se révèle intéressant de souligner que la proportion de femmes professionnelles du SPPMM a évolué de 38 % en 1998 à 56 % en 2015. Le passage à une majorité de femmes est survenu à la suite des fusions municipales de 2002. En effet, à partir de 2004, les données recueillies montrent que les professionnelles comptent pour plus de 52% des effectifs.
Répartition selon le sexe
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L’évaluation des effectifs a permis d’observer une hausse du nombre de professionnelles et professionnels à l’œuvre au sein de la Ville de Montréal. En effet, le pourcentage a progressé de 96 % en 2010 à 97,4 % en 2015. Par contre, dans les 5 municipalités de banlieue, on remarque une diminution du nombre de membres, qui est passé de 4 % à 2,6 % en 5 ans. Compte tenu du faible nombre de membres dans les municipalités de banlieue, le départ à la retraite ou pour une fonction hors accréditation a un impact plus marqué.
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Comme par le passé, les hommes occupent de manière plus importante les secteurs d’activité liés aux technologies de l’information, à la gestion immobilière, aux finances ainsi qu’aux sciences. La situation est la même en ce qui concerne les femmes, qui s’avèrent toujours plus présentes dans les secteurs d’activité liés aux communications, à la culture et aux loisirs (dont la bibliothéconomie), ainsi qu’aux fonctions communautaires et sociales.
Soulignons notamment que le secteur des technologies de l’information a pris une plus grande place parmi les principales activités de la ville de Montréal et des 5 municipalités de banlieue. En effet, alors que celui-ci était le troisième en importance en 2010, on constate aujourd’hui qu’il est le deuxième, précédé par le secteur de la culture et des loisirs qui se révèle toujours premier en importance sur le plan des effectifs.
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Les services centraux de la Ville de Montréal regroupent près de 72 % des 1878 professionnelles et professionnels de cette unité d’accréditation, comparativement à 73 % en 2010. De ce fait, un peu plus du quart de ceux-ci se retrouvent dans les arrondissements. Semblable depuis 2009, ce ratio diffère de celui de 2004 où les arrondissements regroupaient alors près de 38% des membres. Cela s’explique par le fait que les défusions n’avaient pas encore eu lieu et que la Ville de Montréal regroupait alors aussi les anciennes municipalités de banlieue.
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Le comblement de nombreux départs à la retraite, survenus en 2010 à la Ville de Montréal, pourrait influencer ces données. En effet, depuis 2010, près de 50% des professionnelles et professionnels du SPPMM cumulent 10 années ou moins d’ancienneté, alors qu’en 2009 ils ne représentaient que 31% des membres. À l’inverse, depuis 2009, le pourcentage d’effectifs comptant entre 11 et 20 ans et 21 et 25 ans d’ancienneté diminue d’environ 10% par tranche d’années.
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En 2015, le pourcentage de professionnels permanents à la Ville de Montréal est demeuré le même qu’en 2010. Le pourcentage de professionnels occasionnels, qui inclut les professionnels auxiliaires banque d’heures, a par ailleurs diminué de 9 % pour la même période, et celui des professionnels en disponibilité de 2%.
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